Je t'ai parlé dans mon dernier tricks for happiness de la procrastination productive.
Je vais t'avouer un truc : en fait, procrastination et productive, ça va à peu près aussi bien ensemble que maniaque et bordélique (je vous jure que c'est possible). Donc on peut pas réellement parler de procrastination productive. Mais c'est pas ces mots mal adaptés qui vont m'empêcher de vous parler de la procrastination (parce que c'est quand même pas pratique et que si mes petites auto-expérimentation peuvent aider quelqu'un, j'en sera ravie).
Tout d'abord (j'ai réellement l'impression d'écrire une dissert de philo. J'ai fais un plan. Et ça commence par tout d'abord. Oh god), il n'y a pas qu'un seul type de procrastineur. En observant les gens, j'en ai trouvé trois grands principaux : celui qui est stressé à l'idée d'avoir quelque chose à faire, celui qui est incapable de se concentrer sur une seule chose à la fois et celui qui éprouve un désintéressement total face à ce qu'il doit accomplir. Mais si je connais bien les deux premiers cas (parce qu'il se trouve que je suis un peu des deux), le troisième, je le maîtrise pas du tout (enfin, je le connais, mais j'ai pas trouvé de solution. Je prie juste pour que ça m'arrive plus). Alors on va le laisser de côté.
Pour commencer, on va se concentrer sur le premier cas : le stress à l'idée de faire quelque chose. Je sais pas si tu connais cette sensation de "il faut que je fasse ce truc. Si je le fais pas, ça va mal aller." et plus le temps passe, plus le stress monte, mais ce stress te paralyse et au final tu ne fais rien. Dans ce cas, ce qui fonctionne pas mal c'est de faire autre chose que le truc qui te stresse. Un truc que tu dois faire aussi, tant qu'à faire, mais qui est moins important. Grâce à ça, ton esprit n'est plus obsédé par le truc stressant, tu éprouve de la satisfaction du fait d'avoir achevé quelque chose, et tu as normalement plus de confiance en toi (la confiance en soi, dans ma tête, c'est comme une jauge de point de vie dans Pokémon. T'as des potions plus ou moins puissantes pour la remplir pendant un combat. Et des fois, on t'attaque, et ça baisse)(je voudrais une minute de silence pour cette sublime analogie) donc tu es suffisamment armé pour réussir ce qui te terrifiait.
Sinon, ce qui marche pas mal aussi quand tu as peur de ne pas réussir quelque chose, il paraît (j'emploie très peu cette méthode), c'est de découper cette tâche en petits morceaux. Du genre : aujourd'hui, faire ça. Demain, ça. Et ainsi de suite. Et au final, ce qui vous semblait insurmontable sera accomplit. Hé ouais. Magique.
Et aussi : relativise (je sais, ça c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Mais "si faire était aussi facile que de savoir ce qu'il est bon de faire, les chapelles seraient des églises et les chaumières des palais princiers", Shakespeare). Si on n'agit pas, c'est souvent par perfectionnisme et par manque de confiance en soi. L'alliance des deux est une plaie qui conduit souvent à la procrastination.
Maintenant, nous allons voir le deuxième cas, celui qui personnellement me pose le plus de problème : la procrastination parce qu'on a la concentration d'une mouche. Ou qu'on s'éparpille facilement. Ce qui consiste à savoir qu'on a plusieurs choses à faire, se dire "j'en commence une parce que c'est la plus importante" puis partir sur une autre puis encore une autre puis faire un truc qui au final n'avait rien à voir mais qui au final est intéressant aussi (comme c'est le cas en cet instant (pourquoi tu crois que mes articles sont toujours décousus ? Je fais trente-six trucs à la fois)).
Sur ce point, je n'ai pas de solution parfaite à vous apporter (parce qu'il paraît que ça provient de ma très grande intelligence)(note : ceci est une blague), je pars toujours dans tous les sens, ça m'énerve toujours autant, c'est toujours aussi peu pratique et ça empire quand je suis fatiguée (quand je suis réellement fatiguée, je deviens dingue. Je pars dans tous les sens et on dirait que j'ai bu trois cafetières)(c'est ce qui m'arrive en ce moment même (j'ai jamais essayé d'écrire un article dans cet état là mais je comprend pourquoi (c'est DUR)).
M'enfin, j'aurais pas commencé à en parler si j'avais quand même pas deux trois petites astuces qui fonctionnent plus ou moins : quand tu pars dans deux milliards de projets en même temps, laisse tout en plan et va faire un tour. Ou si tu peux pas aller faire un tour (c'est dommage parce que c'est quand même ce qui marche le mieux (marcher a un effet incroyablement positif sur moi)), je suppose que tu peux toujours faire du yoga si tu sais en faire (perso, je me contente de faire le poirier. Idem, effet incroyable (si tu sais pas le faire et que tu as peur, fait le contre un mur. Promis, ça détend et tu te sens mieux quand tu reviens dans le bon sens)).
Une fois que tu as fait autre chose, ne reviens pas de suite à ta multitude de tâches. Note-les, classe-les du moins important au plus important, et commence par la plus urgente (sauf si tu es stressé par les tâches urgentes. Si c'est le cas, fractionne ta tâche urgente, mettons en trois, et trouve trois petites tâches pas stressantes à intercaler au milieu). Si c'est une tâche qui implique internet et que comme moi tu gardes toujours dix milliards (au moins) de fenêtres ouvertes, ferme-les, ça t'évitera de papillonner (ce verbe est merveilleux). En revanche, si c'est une tâche qui implique un ordinateur mais pas internet, coupe le wi-fi (si comme moi tu es faible face à la tentation) et rallume le seulement une fois que tu as finit.
Autre chose : évite les pauses. Parce qu'en faisant une pause même de deux minutes, on perd la motivation ou l'énergie.
(au final, c'est tellement désorganisé qu'on se demande où est passé le plan. ça m'apprendra à pas tout écrire d'une traite). Bref, voilà, ce sont deux-trois choses qui permettent de lutter un petit peu contre la procrastination, c'est pas non plus la panacée mais ce sont les moyens que j'ai trouvé pour m'améliorer dans ce domaine là.
Dans le prochain épisode, on parlera de l'art de rien faire et de comment faire de ta vie un monde de paillettes et de poneys magiques.
Je vous souhaite une très bonne journée, merci de m'avoir lue.
Je vais t'avouer un truc : en fait, procrastination et productive, ça va à peu près aussi bien ensemble que maniaque et bordélique (je vous jure que c'est possible). Donc on peut pas réellement parler de procrastination productive. Mais c'est pas ces mots mal adaptés qui vont m'empêcher de vous parler de la procrastination (parce que c'est quand même pas pratique et que si mes petites auto-expérimentation peuvent aider quelqu'un, j'en sera ravie).
Tout d'abord (j'ai réellement l'impression d'écrire une dissert de philo. J'ai fais un plan. Et ça commence par tout d'abord. Oh god), il n'y a pas qu'un seul type de procrastineur. En observant les gens, j'en ai trouvé trois grands principaux : celui qui est stressé à l'idée d'avoir quelque chose à faire, celui qui est incapable de se concentrer sur une seule chose à la fois et celui qui éprouve un désintéressement total face à ce qu'il doit accomplir. Mais si je connais bien les deux premiers cas (parce qu'il se trouve que je suis un peu des deux), le troisième, je le maîtrise pas du tout (enfin, je le connais, mais j'ai pas trouvé de solution. Je prie juste pour que ça m'arrive plus). Alors on va le laisser de côté.
Pour commencer, on va se concentrer sur le premier cas : le stress à l'idée de faire quelque chose. Je sais pas si tu connais cette sensation de "il faut que je fasse ce truc. Si je le fais pas, ça va mal aller." et plus le temps passe, plus le stress monte, mais ce stress te paralyse et au final tu ne fais rien. Dans ce cas, ce qui fonctionne pas mal c'est de faire autre chose que le truc qui te stresse. Un truc que tu dois faire aussi, tant qu'à faire, mais qui est moins important. Grâce à ça, ton esprit n'est plus obsédé par le truc stressant, tu éprouve de la satisfaction du fait d'avoir achevé quelque chose, et tu as normalement plus de confiance en toi (la confiance en soi, dans ma tête, c'est comme une jauge de point de vie dans Pokémon. T'as des potions plus ou moins puissantes pour la remplir pendant un combat. Et des fois, on t'attaque, et ça baisse)(je voudrais une minute de silence pour cette sublime analogie) donc tu es suffisamment armé pour réussir ce qui te terrifiait.
Sinon, ce qui marche pas mal aussi quand tu as peur de ne pas réussir quelque chose, il paraît (j'emploie très peu cette méthode), c'est de découper cette tâche en petits morceaux. Du genre : aujourd'hui, faire ça. Demain, ça. Et ainsi de suite. Et au final, ce qui vous semblait insurmontable sera accomplit. Hé ouais. Magique.
Et aussi : relativise (je sais, ça c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Mais "si faire était aussi facile que de savoir ce qu'il est bon de faire, les chapelles seraient des églises et les chaumières des palais princiers", Shakespeare). Si on n'agit pas, c'est souvent par perfectionnisme et par manque de confiance en soi. L'alliance des deux est une plaie qui conduit souvent à la procrastination.
Maintenant, nous allons voir le deuxième cas, celui qui personnellement me pose le plus de problème : la procrastination parce qu'on a la concentration d'une mouche. Ou qu'on s'éparpille facilement. Ce qui consiste à savoir qu'on a plusieurs choses à faire, se dire "j'en commence une parce que c'est la plus importante" puis partir sur une autre puis encore une autre puis faire un truc qui au final n'avait rien à voir mais qui au final est intéressant aussi (comme c'est le cas en cet instant (pourquoi tu crois que mes articles sont toujours décousus ? Je fais trente-six trucs à la fois)).
Sur ce point, je n'ai pas de solution parfaite à vous apporter (parce qu'il paraît que ça provient de ma très grande intelligence)(note : ceci est une blague), je pars toujours dans tous les sens, ça m'énerve toujours autant, c'est toujours aussi peu pratique et ça empire quand je suis fatiguée (quand je suis réellement fatiguée, je deviens dingue. Je pars dans tous les sens et on dirait que j'ai bu trois cafetières)(c'est ce qui m'arrive en ce moment même (j'ai jamais essayé d'écrire un article dans cet état là mais je comprend pourquoi (c'est DUR)).
M'enfin, j'aurais pas commencé à en parler si j'avais quand même pas deux trois petites astuces qui fonctionnent plus ou moins : quand tu pars dans deux milliards de projets en même temps, laisse tout en plan et va faire un tour. Ou si tu peux pas aller faire un tour (c'est dommage parce que c'est quand même ce qui marche le mieux (marcher a un effet incroyablement positif sur moi)), je suppose que tu peux toujours faire du yoga si tu sais en faire (perso, je me contente de faire le poirier. Idem, effet incroyable (si tu sais pas le faire et que tu as peur, fait le contre un mur. Promis, ça détend et tu te sens mieux quand tu reviens dans le bon sens)).
Une fois que tu as fait autre chose, ne reviens pas de suite à ta multitude de tâches. Note-les, classe-les du moins important au plus important, et commence par la plus urgente (sauf si tu es stressé par les tâches urgentes. Si c'est le cas, fractionne ta tâche urgente, mettons en trois, et trouve trois petites tâches pas stressantes à intercaler au milieu). Si c'est une tâche qui implique internet et que comme moi tu gardes toujours dix milliards (au moins) de fenêtres ouvertes, ferme-les, ça t'évitera de papillonner (ce verbe est merveilleux). En revanche, si c'est une tâche qui implique un ordinateur mais pas internet, coupe le wi-fi (si comme moi tu es faible face à la tentation) et rallume le seulement une fois que tu as finit.
Autre chose : évite les pauses. Parce qu'en faisant une pause même de deux minutes, on perd la motivation ou l'énergie.
(au final, c'est tellement désorganisé qu'on se demande où est passé le plan. ça m'apprendra à pas tout écrire d'une traite). Bref, voilà, ce sont deux-trois choses qui permettent de lutter un petit peu contre la procrastination, c'est pas non plus la panacée mais ce sont les moyens que j'ai trouvé pour m'améliorer dans ce domaine là.
Dans le prochain épisode, on parlera de l'art de rien faire et de comment faire de ta vie un monde de paillettes et de poneys magiques.
Je vous souhaite une très bonne journée, merci de m'avoir lue.
Owi. Merci pour les astuces. Je sens que ça aura grandement du mal à prendre sur moi, mais j'peux toujours essayer un jour où je serais motivée. Et j'agrée totalement pour la marche, c'est merveilleux. (surtout quand tu marches pendant des mois et des mois dans l'espoir de trouver quelqu'un, en vain, et que du coup ça devient une habitude et que tu oublies pourquoi tu avais commencé à marcher.) (Mais à quoi sert cette parenthèses ?)
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il faut une motivation initiale. Mais ça j'ai commencé à réfléchir dessus.
Supprimer(c'est une parenthèse. C'est cool. Un jour les parenthèses domineront le monde)
Tu n'as pas parlé du troisième point parce que tu ne le connais pas. Ça tombe bien, il s'avère que c'est mon meilleur ami (enfin la pire des procrastinations de mon point de vue). Si tu veux je peux étoffer ton article ou bien dans un commentaire, ou bien je t'envoie ma réflexion par mail et je te laisse te charger du reste, à toi de voir ;)
RépondreSupprimer(ça peut paraître bizarre mais je vais du plus récent des articles aux moins récent, résultat il se peut que mes commentaires tombent dans les limbes infinies des commentaires égarés des blogs)
Bah je le connais, mais en général quand ça m'arrive, je reste dans mon lit tout en regardant des vidéos sur youtube. Pas glorieux (et je rejoins ton point de vue, c'est la pire). Je veux bien que tu m'envois ta réflexion par mail, comme ça je pourrait remanier l'article afin de d'y intégrer ta participation (vu que tout le monde ne prend pas la peine de lire les commentaires)
Supprimer(je trouve pas ça bizarre moi ^^)(et je répond à tout. Même si l'article date de y'a trèèèès longtemps)