Y'a deux jours, je me suis fait tatouer pour la deuxième fois.
C'était pas prévu.
Ou presque pas.
Pour résumer, j'avais un projet que je mûrissais depuis quelques temps, et que je voulais me faire tatouer en octobre/novembre, après mes 18 ans.
Et, au final, je me suis fait tatouer un flash en promo. C'est à dire qu'une des tatoueuses du studio auquel je me suis fait faire mon premier tatouage a posté sur son facebook des petits dessins qui tournaient autour du même thème (des petits animaux des récifs coraliens) qu'elle avait envie de tatouer. Et elle les faisaient moitié prix.
Comment dire. Je suis tombée amoureuse d'un de ces dessins. Genre je l'ai fixé pendant dix minutes en me disant "JE VEUX CETTE CHOOOOOOSE !".
Et comme je suis quelqu'un d'impulsif, je suis allée demander à la tatoueuse (qui s'appelle Zelda) à combien elle le faisait. Et c'était grave dans mon budget. J'ai demandé à mon meilleur ami où il fallait que je le mette, il a dit la cuisse, j'ai dit bonne idée, sur la cuisse gauche ce sera impeccable (oui il me faut une certaine symétrie, j'en ai un sur l'omoplate droite, j'allais pas en refaire un à droite, ça aurait pas été logique). Après, je suis allée voir mes parents, j'ai dit : "les parents, je veux un autre tatouage. La promo de Zelda elle dure jusqu'en aout, j'ai de quoi me le payer, mais j'ai besoin de votre accord parce que je suis encore mineure. Sachant que si c'est pas avant les 18 ans, je l'aurais quand même, mais plus cher." Mon père il a dit "trop c'est moche" et on s'est engueulé. Ma mère elle a essayé de savoir ce que voulait dire ce tatouage pour moi, je lui ai dit "faut que je le fasse, c'est tout". (pour le moment, j'en étais là de ma symbolique de tatouage). J'ai finalement obtenu un "bon de toute façon maintenant ou plus tard ça change rien" de ma mère et un "pff j'te garanti vieux, que d'argent gaspillé pour toutes ces conneries" de mon père.
Soit. Du coup, j'ai dit à Zelda "ok, vas-y, on prend rendez-vous le 6 août à 14h". J'ai vite fait crié ma joie sur facebook, mais peu de gens savaient vraiment ce que j'allais me faire tatouer (en fait, il y a trois personnes qui ont vu le dessin avant). Parce que j'étais beaucoup moi sûre de moi que pour le caméléon. Je savais que je voulais ce tatouage, je le sentais dans tout mon être, mon instinct me disait "allez allez fait-le !", mais je sentais que si on me demandait pourquoi je le voulais j'allais répondre "c'est comme ça". Alors je me suis posée deux minutes et j'ai cherché à comprendre pourquoi c'était comme ça. J'ai trouvé, j'étais contente.
ça m'a pas empêchée de flipper comme une tarée la veille. Enfin. Tu vois. J'ai très très très peur des aiguilles (genre tu vois, les vaccins, il me faut 20 minutes avant d'accepter que l'aiguille m'approche à moins de 5cm). Et là, je savais que ça allait faire mal, je savais comment ça allait faire mal, bref, en gros, j'ai eu du mal à dormir. Me suis réveillée à 7h le lendemain matin, avec des courbatures de ma séance de course de la veille.
Sérieusement. Je n'ai jamais de courbatures, quand je cours. Sauf le jour où je dois me faire tatouer la cuisse. Bawi. C'est mieux.
Du coup,je me lève, j'écris un peu, je m'habille, je vais prendre le train, je rejoins ma pote dans Gre, on va manger à son appart (note à moi-même : c'est bon, les salades composées. Mais avant un tatouage, c'est mieux une assiette de pâtes), je commence à stresser comme une malade, du coup j'arrive plus à manger ni à boire, je veux qu'on y aille direct. Du coup comme ma pote est gentille, on part avec une heure d'avance pour se rendre au studio qui se trouve à environ 45 minutes. On arrive au bout de la ligne de tram, puis on marche jusqu'au studio, de plus en plus lentement (pas parce que mes plateformes me faisaient mal, mais parce que j'avais la trouille). Puis on finit par arriver au studio. Zelda me prévient qu'elle a encore un truc à finir, donc on attend. Vers 14h40, alors que j'avais fini par réussir à me relaxer, elle me dit "on y va ?". Donc on y va. J'enlève mes chaussures pendant qu'elle prépare son matos, puis elle me dit "on va poser le stencil", donc j'enlève mes collants, je relève ma jupe, et on passe un petit moment à essayer de voir comment qu'on le met pour que la typo soit lisible, qu'il soit pas trop décalé par rapport au centre de ma cuisse, puis elle me dit "bon, faudrait peut-être que tu enlève ta jupe, au cas où tu saignes ou autre". Du coup me voilà en culotte et débardeur au-dessus du nombril. Sympa. Je dois avouer que je me sentais très à l'aise.
Bon et puis je grimpe sur la table, et elle commence à piquer.
Aouch. C'était pas sensé faire moins mal, la cuisse ? Bref, elle pique, elle pique, elle pique. Au bout d'un moment, elle a fini le noir et la typo, ma pote s'en va, elle attaque un peu le bleu, puis elle me dit "attend relève toi j'ai effacé mon stencil". Donc elle va chercher des ciseaux pour enlever la typo, moi pendant ce temps j'étudie la bête dans le miroir, ça saigne déjà pas mal, du coup je prends une photo pour traumatiser ma petite soeur. Elle me recolle un stencil, et c'est reparti pour du bleu.
Je commence à douiller beaucoup. Fort heureusement, Zelda discute en même temps, donc c'est plus simple de penser à autre chose, en plus elle a des conversations très sympa. Elle pique, elle pique, elle pique. Moi je serre mon téléphone très fort entre mes doigts. Je commence à avoir faim et à me sentir faible, un peu. Elle pique, elle pique, elle pique. Puis, à un moment, elle me dit "bon, le bleu, c'est fini, faut que je nettoie ma machine et on passe au jaune." Donc je me relève, je vais voir, y'avait encore plus de sang, je refais une photo pour traumatiser ma sœur, Audrey (celle qui m'a fait mon premier tatouage) me dit : tient mets-toi là on fait une photo du caméléon", donc je dis euh ok mais euh y'a des gens et je suis presque à poil quoi en fait, mais je me met quand même là où elle a dit, elle râle parce que j'ai les marques de la table dans le dos, Zelda revient, elle me dit retourne sur la table, je retourne, j'observe encore la bête, je fais "oh c'est sympa la typo sans le trait pour souligner", elle fait "ha merde j'ai oublié attend".
Sérieux. Se refaire tatouer sur une zone qui était tranquille détendue ça fait plus d'une heure qu'on me pique plus, c'est pas cool.
Donc elle a fait le jaune, après.
Hé bah. J'avais vachement mal, hein. Mais le premier truc que je me suis dit quand le tatouage a été fini, c'était "Putain. J'en veux un autre.".
Bon, j'admet, le premier truc que je me suis réellement dit, c'était "Ouf, c'est terminé". Parce que quand même. J'avais un peu bobo à la cuisse.
Puis, après deux trois photos et un emballage de cuisse dans du cello (#jesuisunjambon), je suis repartie à Grenoble.
...A pied.
Je. Comment dire. Je boitais beaucoup. Et j'avais soif. Et faim. Et la tête qui tournait, un peu. J'ai fini par trouver un train, mon père a accepté de venir me chercher à la gare (non parce que ladite gare est à 1h à pied et que haha non mais non quoi).
Puis j'ai pris des fringues, j'ai enlevé le pansement parce que ça dégoulinait, et je suis partie en soirée.
ça c'était LA connerie tu vois. Parce que se réveiller le lendemain matin avec le mélange crème-lymphe-encre qui suinte à travers le pansement et devoir impérativement laver ton tatouage (sous la douche, donc) alors que tout le monde dort, c'est la loose.
C'est la loose de se la jouer McGyver avec un bout de sopalin et une éponge, debout dans la cuisine, en essayant de pas faire de bruit.
Et c'est la loose de se coucher à 4h du matin alors qu'il te faudrait 10h de sommeil pour récupérer complètement.
Bref. Si vous vous faites tatouer, manger bien avant, et dormez après. C'est mieux.
Et pour répondre à tous les "Encore ?!" du monde : oui, je me suis fait tatouer deux fois en neuf mois et j'ai pas encore 18 ans (bientôt).
Et je projette d'en faire encore pas mal. Parce que plus je tatoue mon corps, plus je l'aime.
Non, je n'ai pas peur de les regretter plus tard. Je ne peux pas les regretter plus tard. Je suis fière d'être tatouée. Je suis fière des heures à souffrir pour me faire encrer la peau. J'aime mes tatouages. Je les ai mérité, parce que j'ai souffert, physiquement et mentalement, pour arrive à chacun d'entre eux.
Et je les aimerai toujours, même délavés, même plissés et déformés. J'ai pas peur du vieillissement de mes tatouages. Je vieillirai avec eux.
Le tatouage, c'est la plus belle forme d'art. Elle est éternelle à l'échelle de nos vies, mais pourtant elle dure un battement de cil par rapport à un tableau.
C'est beau.
Et, au final, je me suis fait tatouer un flash en promo. C'est à dire qu'une des tatoueuses du studio auquel je me suis fait faire mon premier tatouage a posté sur son facebook des petits dessins qui tournaient autour du même thème (des petits animaux des récifs coraliens) qu'elle avait envie de tatouer. Et elle les faisaient moitié prix.
Comment dire. Je suis tombée amoureuse d'un de ces dessins. Genre je l'ai fixé pendant dix minutes en me disant "JE VEUX CETTE CHOOOOOOSE !".
Et comme je suis quelqu'un d'impulsif, je suis allée demander à la tatoueuse (qui s'appelle Zelda) à combien elle le faisait. Et c'était grave dans mon budget. J'ai demandé à mon meilleur ami où il fallait que je le mette, il a dit la cuisse, j'ai dit bonne idée, sur la cuisse gauche ce sera impeccable (oui il me faut une certaine symétrie, j'en ai un sur l'omoplate droite, j'allais pas en refaire un à droite, ça aurait pas été logique). Après, je suis allée voir mes parents, j'ai dit : "les parents, je veux un autre tatouage. La promo de Zelda elle dure jusqu'en aout, j'ai de quoi me le payer, mais j'ai besoin de votre accord parce que je suis encore mineure. Sachant que si c'est pas avant les 18 ans, je l'aurais quand même, mais plus cher." Mon père il a dit "trop c'est moche" et on s'est engueulé. Ma mère elle a essayé de savoir ce que voulait dire ce tatouage pour moi, je lui ai dit "faut que je le fasse, c'est tout". (pour le moment, j'en étais là de ma symbolique de tatouage). J'ai finalement obtenu un "bon de toute façon maintenant ou plus tard ça change rien" de ma mère et un "pff j'te garanti vieux, que d'argent gaspillé pour toutes ces conneries" de mon père.
Soit. Du coup, j'ai dit à Zelda "ok, vas-y, on prend rendez-vous le 6 août à 14h". J'ai vite fait crié ma joie sur facebook, mais peu de gens savaient vraiment ce que j'allais me faire tatouer (en fait, il y a trois personnes qui ont vu le dessin avant). Parce que j'étais beaucoup moi sûre de moi que pour le caméléon. Je savais que je voulais ce tatouage, je le sentais dans tout mon être, mon instinct me disait "allez allez fait-le !", mais je sentais que si on me demandait pourquoi je le voulais j'allais répondre "c'est comme ça". Alors je me suis posée deux minutes et j'ai cherché à comprendre pourquoi c'était comme ça. J'ai trouvé, j'étais contente.
ça m'a pas empêchée de flipper comme une tarée la veille. Enfin. Tu vois. J'ai très très très peur des aiguilles (genre tu vois, les vaccins, il me faut 20 minutes avant d'accepter que l'aiguille m'approche à moins de 5cm). Et là, je savais que ça allait faire mal, je savais comment ça allait faire mal, bref, en gros, j'ai eu du mal à dormir. Me suis réveillée à 7h le lendemain matin, avec des courbatures de ma séance de course de la veille.
Sérieusement. Je n'ai jamais de courbatures, quand je cours. Sauf le jour où je dois me faire tatouer la cuisse. Bawi. C'est mieux.
Du coup,je me lève, j'écris un peu, je m'habille, je vais prendre le train, je rejoins ma pote dans Gre, on va manger à son appart (note à moi-même : c'est bon, les salades composées. Mais avant un tatouage, c'est mieux une assiette de pâtes), je commence à stresser comme une malade, du coup j'arrive plus à manger ni à boire, je veux qu'on y aille direct. Du coup comme ma pote est gentille, on part avec une heure d'avance pour se rendre au studio qui se trouve à environ 45 minutes. On arrive au bout de la ligne de tram, puis on marche jusqu'au studio, de plus en plus lentement (pas parce que mes plateformes me faisaient mal, mais parce que j'avais la trouille). Puis on finit par arriver au studio. Zelda me prévient qu'elle a encore un truc à finir, donc on attend. Vers 14h40, alors que j'avais fini par réussir à me relaxer, elle me dit "on y va ?". Donc on y va. J'enlève mes chaussures pendant qu'elle prépare son matos, puis elle me dit "on va poser le stencil", donc j'enlève mes collants, je relève ma jupe, et on passe un petit moment à essayer de voir comment qu'on le met pour que la typo soit lisible, qu'il soit pas trop décalé par rapport au centre de ma cuisse, puis elle me dit "bon, faudrait peut-être que tu enlève ta jupe, au cas où tu saignes ou autre". Du coup me voilà en culotte et débardeur au-dessus du nombril. Sympa. Je dois avouer que je me sentais très à l'aise.
Bon et puis je grimpe sur la table, et elle commence à piquer.
Aouch. C'était pas sensé faire moins mal, la cuisse ? Bref, elle pique, elle pique, elle pique. Au bout d'un moment, elle a fini le noir et la typo, ma pote s'en va, elle attaque un peu le bleu, puis elle me dit "attend relève toi j'ai effacé mon stencil". Donc elle va chercher des ciseaux pour enlever la typo, moi pendant ce temps j'étudie la bête dans le miroir, ça saigne déjà pas mal, du coup je prends une photo pour traumatiser ma petite soeur. Elle me recolle un stencil, et c'est reparti pour du bleu.
Je commence à douiller beaucoup. Fort heureusement, Zelda discute en même temps, donc c'est plus simple de penser à autre chose, en plus elle a des conversations très sympa. Elle pique, elle pique, elle pique. Moi je serre mon téléphone très fort entre mes doigts. Je commence à avoir faim et à me sentir faible, un peu. Elle pique, elle pique, elle pique. Puis, à un moment, elle me dit "bon, le bleu, c'est fini, faut que je nettoie ma machine et on passe au jaune." Donc je me relève, je vais voir, y'avait encore plus de sang, je refais une photo pour traumatiser ma sœur, Audrey (celle qui m'a fait mon premier tatouage) me dit : tient mets-toi là on fait une photo du caméléon", donc je dis euh ok mais euh y'a des gens et je suis presque à poil quoi en fait, mais je me met quand même là où elle a dit, elle râle parce que j'ai les marques de la table dans le dos, Zelda revient, elle me dit retourne sur la table, je retourne, j'observe encore la bête, je fais "oh c'est sympa la typo sans le trait pour souligner", elle fait "ha merde j'ai oublié attend".
Sérieux. Se refaire tatouer sur une zone qui était tranquille détendue ça fait plus d'une heure qu'on me pique plus, c'est pas cool.
Donc elle a fait le jaune, après.
Hé bah. J'avais vachement mal, hein. Mais le premier truc que je me suis dit quand le tatouage a été fini, c'était "Putain. J'en veux un autre.".
Bon, j'admet, le premier truc que je me suis réellement dit, c'était "Ouf, c'est terminé". Parce que quand même. J'avais un peu bobo à la cuisse.
Puis, après deux trois photos et un emballage de cuisse dans du cello (#jesuisunjambon), je suis repartie à Grenoble.
...A pied.
Je. Comment dire. Je boitais beaucoup. Et j'avais soif. Et faim. Et la tête qui tournait, un peu. J'ai fini par trouver un train, mon père a accepté de venir me chercher à la gare (non parce que ladite gare est à 1h à pied et que haha non mais non quoi).
Puis j'ai pris des fringues, j'ai enlevé le pansement parce que ça dégoulinait, et je suis partie en soirée.
ça c'était LA connerie tu vois. Parce que se réveiller le lendemain matin avec le mélange crème-lymphe-encre qui suinte à travers le pansement et devoir impérativement laver ton tatouage (sous la douche, donc) alors que tout le monde dort, c'est la loose.
C'est la loose de se la jouer McGyver avec un bout de sopalin et une éponge, debout dans la cuisine, en essayant de pas faire de bruit.
Et c'est la loose de se coucher à 4h du matin alors qu'il te faudrait 10h de sommeil pour récupérer complètement.
Bref. Si vous vous faites tatouer, manger bien avant, et dormez après. C'est mieux.
Et pour répondre à tous les "Encore ?!" du monde : oui, je me suis fait tatouer deux fois en neuf mois et j'ai pas encore 18 ans (bientôt).
Et je projette d'en faire encore pas mal. Parce que plus je tatoue mon corps, plus je l'aime.
Non, je n'ai pas peur de les regretter plus tard. Je ne peux pas les regretter plus tard. Je suis fière d'être tatouée. Je suis fière des heures à souffrir pour me faire encrer la peau. J'aime mes tatouages. Je les ai mérité, parce que j'ai souffert, physiquement et mentalement, pour arrive à chacun d'entre eux.
Et je les aimerai toujours, même délavés, même plissés et déformés. J'ai pas peur du vieillissement de mes tatouages. Je vieillirai avec eux.
Le tatouage, c'est la plus belle forme d'art. Elle est éternelle à l'échelle de nos vies, mais pourtant elle dure un battement de cil par rapport à un tableau.
C'est beau.
mais du coup...on a pas droit à une photo? (j'ai pas FB ;) ) Et oui tatoo c'est chouette. Moi je sais déjà ce que je ferai pour le suivant mais ca me demande d'avoir eu des enfants avant parce que cela inclus la première lettre du prénom ;)
RépondreSupprimerHaha, pour le moment il cicatrise, c'est un peu moche =) (j'en ai pas mis sur FB ;) )
SupprimerHa oui c'est sûr que se faire tatouer un truc qui contienne l'initiale de ses enfants quand on en a pas encore...ça marche moins bien ^^
Tu sais, pour la soirée, on se sentait trop mal de te faire venir alors que t'allais être crevée ^^' (mais le tatoo est beau *-*)
RépondreSupprimerEt pour la douche alors qu'on dormait, tu pouvais, on captais tellement rien avec Maki (sérieux, il aurait pu y avoir une météorite dans la chambre, on se serait pas réveillés xD)
Et oui, tu les mérite tes tatoos ;)
Ouais mais je voulais voir vos têtes ^^ puis c'est bon, j'ai dormi après, là tout va bien ^^ (haha, il s'épluche en ce moment, c'est pas super ^^)
SupprimerOui mais comment tu veux que je le sache ? Je pars du principe que tout le monde a le même sommeil de merde que moi, alors dans le doute, je me la suis jouée silencieuse ^^'
Yeah !